• La pire année de ma vie se termine...

    L' année ou j'ai perdu une partie de moi-même...

    L' année ou j'ai perdu confiance en tout ...

    en moi, aux autres ... à notre mode de vie ! 

     

    Que vienne une nouvelle année, mais quelle sera ma destinée ?

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  • Maintenant, il faudrait juger nos états pour collaboration et création d'un monstre !

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  • ELIMINATION D'UN TEMOIN,


    POUR LE MOINS GENANT !



    petit rappel historique...



    Non-intervention internationale



    Sous la direction de Saddam Hussein, l'Irak devient une puissance régionale, en partie grâce aux revenus du pétrole et au soutien à la fois des pays occidentaux et du Bloc de l'Est, mais bénéficiera également du support idéologique des partis socialistes affiliés à la IIe internationale, qui voient dans le parti Baas l'un des porte-paroles d'une prise de conscience socialiste dans les pays du tiers monde, voulant se réapproprier leurs ressources énergétiques dans une démarche « progressiste » et « anti-colonialiste ».



    Après la révolution islamique d'Iran qui isole diplomatiquement ce pays, l'Irak est perçu par l'Occident comme une force stabilisatrice pour la région, un barrage territorial et humain qui peut et sera utilisé pour barrer la route aux islamistes vers les richesses de la « corne arabique ».



    L'Irak bénéficie alors d'un large soutien international et des pays comme la France et les États-Unis (qui espéraient affaiblir le régime islamiste iranien et ainsi favoriser sa chute) lui fournissent en grande quantité armes et technologies, l'URSS restant toutefois le premier fournisseur d'armement. Le Raïs, qui se prend pour le nouveau Saladin — étant également né à Tikrit — et rêve de prendre la tête du monde arabe par la conquête militaire, est sacré champion de l'Occident. Les Nations unies n'ont jamais enquêté sur les crimes de Saddam Hussein car il était impossible de violer les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires intérieures d'un État. Aucune aide internationale ne vint soutenir les victimes kurdes des gazages et de la politique d'extermination.





    La guerre Iran-Irak (1980-1988)



    Article détaillé : Guerre Iran-Irak.



    En septembre 1980, Saddam Hussein lance son armée contre l'Iran des mollahs, pour la conquête de trois objectifs :





    • occuper la totalité du Chatt-el-Arab (delta du Tigre et de l'Euphrate), le « fleuve des Arabes », qu'il avait dû partager avec l'Iran, par le traité de 1975 ;

    • faire du Khalidj al-Farsi, le Golfe persique, le Khalidj al-Arabi, le Golfe arabique, en chassant définitivement les Iraniens des îlots qui contrôlent l'accès au détroit d'Ormuz.

    • s'emparer de la province pétrolifère du Khouzistan, nommé par les nationalistes arabes, l'Arabistan.


    Jusqu'en 1988, les deux pays sont plongés dans une guerre longue et sanglante et finalement sans beaucoup de résultats. Car sur tous ses objectifs, Saddam Hussein connaît un échec relatif, malgré l'aide massive apportée par l'Union Soviétique, la France, les États-Unis dans une moindre mesure et les Émirats arabes, qui redoutent avant toute chose la victoire iranienne, et donc des chiites, alors que Saddam Hussein est sunnite. Au terme de huit années de guerre, l'Irak réussit à prendre pied sur la rive iranienne du Chatt-el-Arab, mais au prix d'un million de morts et de sa jeunesse sacrifiée. Durant ce conflit, l'Irak utilise massivement et systématiquement des gaz lacrymogènes (1982), puis des armes chimiques mortelles, interdites d'emploi par de nombreux traités internationaux, comme des vésicants et des neurotoxiques à partir de 1983.



    OU EST LA JUSTICE ?



    IL DEVAIT ETRE JUGE POUR TOUT ET APRES, EXECUTE !


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